Pourquoi consulter ?
Chacun peut avoir un jour une raison d'entamer une thérapie. Même si l'entourage ne la perçoit pas, ou ne la comprend pas.
Il y a probablement autant de motifs de consultation que d'individus. Pour autant, quelques raisons se détachent, du fait de leur récurrence.
Une séparation, récente ou mal cicatrisée, peut nécessiter un accompagnement : la perte d’un proche, une rupture amoureuse, un licenciement, un divorce, mais aussi un déménagement ou le départ des enfants de la maison.
Un tournant de vie, la fin d'une période, peut faire vaciller : l'entrée dans l'âge adulte, un projet d'union, l'annonce d'une grossesse, l'approche de la retraite…
Souvent, le conflit que rencontre la personne, dans sa vie personnelle ou dans son travail, devient symptôme et perturbe le bon fonctionnement du corps. Il peut faire perdre le sommeil par exemple ou créer des angoisses.
Dans tous les cas, la personne qui est amenée à consulter ne trouve plus de marge de manœuvre qui lui permette d'avancer seule et a le sentiment de subir ce qui lui arrive.
Ma pratique
Diminuer la souffrance, sortir de l'impasse ou comprendre ce qui arrive, constituent souvent les premières demandes d'accompagnement. Le questionnement sans jugement, la prise en compte de l'inconscient, mais aussi l'étonnement du thérapeute face à ce qui semblait indiscutable, permettent d'opérer un premier déplacement. Il s'agit de faire advenir un autre discours sur soi.
Au fil des séances, la personne créé ses propres aménagements, trouve des solutions, et une manière de faire qui laisse de la place à son désir.
En fonction de la demande qui m'est adressée et du style de chacun, je m'appuie davantage sur l'analyse transactionnelle ou sur la psychanalyse. Je reçois mes patients sur rendez-vous, lors d'entretiens en face-à-face, dans un espace dédié à cette pratique. Les séances sont hebdomadaires et durent 45 minutes maximum. La durée de la thérapie est variable, car chaque personne avance à son propre rythme.
Liens vers celles et ceux qui orientent ma pratique :